Un rencontre inatendu

- Ton professeur t'a amené ici par ce que tu ne voulais pas qu'il te confisque ton ipod? Tu t'es même battu avec!?

- Aille! Il me l'a carrément arraché des mains la tête de glan!! J'étais pas pour pas me défendre!

- Fais tention à tes paroles. Tu dois le respect à tes professeurs.

- Et puis quoi encore? Pourquoi je le respecterais s'il ne me respecte même pas!?

«Être amené de force au directeur juste pour ça? pensa Migumi. En plus, je me suis retenue! C'est vraiment de la merde cette école.»

- Tu as du mal à trouver ta place dans cette école et je comprend. Lui dit le directeur. C'est dur de recommencer à zéro et peut-être...

- Comme si vous saviez ce que c'est!? Vous savez rien!! Vous savez même pas ce que sais le ''zéro''! Vous vous avez...

- Laisse moi parler! La coupa t-il d'un ton ferme. J'allais te proposer une occasion en or. Je pense que c'est le fait d'avoir une autorité supérieur et aussi le fait que tu te sente seule que tu es comme ça. Normalement je fais ça seulement pour les élèves modèles, mais je pense que je vais faire un exeption vu que tu as eu tout de même de bonnes notes en classe. Il y a... comment dire? Quelqu'un dont j'aimerais que tu t'occupes. On as eu de la difficulté avec lui. Je pense que tu vas bien t'entendre avec. Tu sauras certainement mieu comment le gérer que les autres élèves. Seulement, tu ne devras parler à personne de ce que tu verras.

Tout en faisant entendre ses mots, l'homme feuilletait une pile de carton puis saisit celle qu'il cherchait et la tendis à sa jeune interlocutrice.

- Prends ça. Tu auras besoins de cette autorisation pour aller où je t'envoies. Tu vas voir, c'est pas dure à trouver, regarde juste sur la carte, l'endroit y est.

Migumi ne dit pas un mot et prit le morceau de papier que lui tendait son supérieur avant de sortir et de se diriger vers la porte. Elle chercha un moment avant de trouver. « ''Pas dure à trouver'', mon oeuil! Songea t-elle.» Elle descendit les escaliers pour le moins inquétants. Migumi s'emblait indiférente à l'atmosphère que dégageait cette endroit, elle qui avait connu l'enfer par le passé. Elle ouvrit les portes où s'y trouvaient des scientifiques. L'un d'entre eux, certainement le plus intimidant, vint l'acceuillir. Il fixa la jeune fille comme pour lui faire baiser les yeux.

- Quoi!? C'est ça que tu veux? Lui dit-elle sur un ton cassant tout en lui montra le carton que lui avait donné le directeur.

Il ne dit rien. Il pris juste ce qu'elle lui avait tendu tout en gardant son air mécontent. En lisant les écritures, un sourire inquiétant s'empara de son air malveillant.

- Suit-moi, lui dit-il.

Migumi lâcha un ''pff'' lorsqu'il se retourna. L'homme semblait avoir ignoré le son énervant qui avait sortie de sa bouche. Elle se retrouva vite dans un couloir au murs de cages où se trouvaient plusieurs animaux sauvages. Elle ne fit pas attention aux cages, comme si elle était concentré sur le large dos qui l'emplissait de haine. Ils s'arrêtairent devant une cage où se trouvait un puma au physique peu commun qui s'était couché au fond de sa cage. Migumi se pencha, intrigué par l'apparence de l'animal. Il ouvrit ses yeux d'un rouge vif. Comme par instinc, elle recula son visage. Elle le sentait dangereux, plus que la pluparts des bêtes qui les entouraient. Soudain, les mots du directeur lui revint en mémoire. «Il y a... comment dire? Quelqu'un dont j'aimerais que tu t'occupes.» «Je vais quand même pas m'occuper d'une bêtes sauvages!? Pensa t-elle. Il veut ma mort le vieu débris ou quoi?»

Au moment ou l'animal avait tenté de lui faire du mal, plutôt que de prendre le couteau qu'elle cachait dans sa botte droite, elle fut comme figé d'une peur qui l'avait empêcher de saisir son arme. Elle continuait de fixer les yeux de l'animal. Qu'avait-il dans ses yeux qui la rendait nerveuse? La couleur? Il est vrai qu'elle n'avait jamais vu une tel couleur dans les yeux d'un animal.

Elle repris ses esprits en voyant l'arme que venait de prendre l'homme à ses côtés. Ça ressemblait aux fusils de chasseur que son père gardait derrière le frigo. «Il veut le tuer ou quoi? Se demanda t-elle, puis elle vit la flèche toucher le puma. Non, c'est un tranquilisant.» Le liquide agit assez rapidement sur lui. L'homme lui tendit ensuite la chaîne d'argent qui servait de laisse. Elle la saisit avec une mains légèrement tremblente. L'homme à blouse blanche s'éloigna ensuite.

- Suit moi, lui dit-il tout en lui indiquant de le suivre, ce qu'elle fit en enmenant prudament avec elle le fauve qui s'était défendu en vain.

Il les conduisirent dans une salle blanche où il fit signe à l'adolescente de mettre le puma sur le lit. Même s'il était faible, avec les grognements qu'il fesait, il était hors de question pour elle de le mettre là dessus. Voyant l'hésitation qu'elle fesait, le scientifique lui prit la laisse des mains et le fit monter à sa place pour ensuite la regarder d'une manière qui disait, ''tout dans les mots, riens dans le ventre''. La colère lui revint en elle. Elle ne cessait de fixer celui qui la traitait de moins que rien. Elle serra le point pour lui offrire en pleine figure, mais s'arrêta net quand elle vit qu'il sortait une autre sereingne. Cette fois, elle était coloré d'une couleur inabituelle.

«Ne pas soulever le drap? Songea t-elle furax. Moi même en plus!? Il se prend pour qui!? Et il croit vraiment que je vais attendre qu'il se réveille pour me faire tuer! Imbécile!»

Elle attendit quelque instant agité après sont départ, puis tenta de s'éloigner, mais en ouvrant la porte, une scientifique la remarqua et fermit la porte aussitôt. Sa journée avait très mal commencé. «D'abord je me suis fait voler mon Ipod par un crâne d'oeuf qui se pense intelligent et maintenant ça!» Pour Migumi, le réveille du félinx n'avait rien de réjouissant. Elle savait qu'il aurait les moyents de la tuer à coup de griffes ou de dents, à lui de choisir. Elle tenta à nouveau de sortir. Cette fois, c'était ce même scientifique qui l'avait tant fait enrangé qui la surpris.

- Qu'est-ce que tu fais! L'arrêta t-il d'un ton ferme alors qu'elle venait à peine d'avencé trois pas.

- T'es malades ou quoi!? Je vais pas attendre qu'il se réveille pour me faire bouffer! Se retourna t-elle furieuse.

- Reste près de lui. Il n'y a aucun risque qu'il te tue. Il n'aura même plus le moyen de se défendre.

- Ah, ok. Je comprend mieu. T'es pas malade, t'es complètement fou!

- T'as jamais entendu les rumeurs ou quoi?

- Hein? C'est quand même pas vrai?

- Rentre là dedans! Fit-il en pointant la porte du puma.

Elle le détestait encore plus! D'un côté elle voulait partir et de l'autre, elle était curieuse de voir s'oppérer le changement. Mais ce fut que lorsque le scientifique la provoca d'un air de défi qu'elle franchit le seuil de la chambre, claqua la porte derrière elle, puit s'assit sur une chaise qui se trouvait près de la porte.

Au cours du temps qui passait, elle n'avait d'autre choix que de jouer avec son couteau pour se désennuyer puisque son prof' lui avait confisqué sa musique et ses videos. Elle faisait tenir la lame sur l'un de ses doights, le lançait et le ratrapait de sa main opposé. Les minutes s'écoula et l'apparence de l'animal changea graduellement. Elle finit par rangé sa lame dans sa bôtte et préféra observer la métamorphose. Puis le temps fut écoulé, et l'homme vêtu d'une blouse blanche entra dans la pièce.

Sur les paroles d'Alex, Migumi fronça les sourcils. «Et je dois m'entendre avec lui? se dit-elle.» Elle jetta un oeuil sur le scientifique. L'ex puma ne semblait pas y avoir fait attention.

- Je fais quoi là? Lui demanda t-elle sur un ton cassant qui fit soupirer son interlocuteur.

- Tu t'arrenges pour qu'il s'habitu à sa nouvelle vie, quoi d'autre? Si tu pouvais être plus gentille, ça serait mieu pour vous deux. Et aussi, donne lui ces vêtements. Tu ne vas tout de même pas le laisser se promener tout nue dans l'école.

Elle suiva du regard, la direction que pointait l'homme de son index. Elle y vit une pile de vêtements près d'elle. Elle prit celui au dessu de la pile et l'examina. C'était un T-shirt tout ce qui a ne plus normal.

- Mouain, bein pour le style on repassera. soupira t-elle.

- Occupe toi bien de lui, fit-il avant de sortir. Je suis occupé, mais s' il y a un problème appelle moi.

Une fois qu'il fut sortit, elle reposa son regard sur le paresseu en face d'elle.

- Aille! Réveille toi! Dit-elle d'une voix forte pour le faire sortir de son someil.

- Maudite bipède? Lui dit-elle en le dévisageant. Tu t'ais pas vu?

«Non, surement pas. songea t-elle. Il dormait durant sa transphormation.» Elle se rappela ce que le scientifique lui avait dit avant de quitter la pièce. «Être plus gentille, hein?» Elle roula ses yeux tout en soupirant. Elle se leva et lui tendit la pile de vêtements pour qu'il la prennent entre ses mains d'humain. Celui-ci ne semblait pas se décider.

- Aller! Prend ça! Lui dit-elle d'un ton pressant.

Elle voulait qu'il puisse se rendre compte par lui même qu'il n'était plus celui qu'il était. Elle remarqua que les yeux de l'encien félinx avait changé. Ils étaient devenue jaune, mais restèrent toujours aussi inquiétant. Inconsiament, elle portait son attention sur les mouvements de son interlocuteur. Elle était encore un peu méfiante vu la manière qu'il avait faillit la défigurer devant sa cage. Elle savait que même s'il avait l'apparence d'un humain, il restait tout de même avec son caractère de puma.

Le ''la ferme'' qu'il avait prononcé fesait monter la colère en elle. Et dire qu'elle essayait d'être gentille. Ce n'était pas l'envis qui lui manquait de le remettre à sa place. «Gentille, gentille, se répéta t-elle comme pour garder son calme.» Elle vit qu'il venait d'appercevoir le miroir à la réaction qu'il eu. Elle lui répondit comme vexé par sa question.

- Quoi, tu crois vraiment que je pourrais faire ça!? Non, c'est le vieu constipé qui se croit tout permis qui a changé ton coctail génétique.

Avant qu'il ne puisse répliquer, elle ajouta d'un ton ferme.

- Maintenant mets ça! T'es humain maintenant fait toi à l'idée. Je vais quand même pas t'habiter de force!

[Pas grâve. ^^]

Le visage de Migumi s'assombrit l'orsqu'il l'agripa. Elle n'avait pas eu le temps de prendre son couteau, mais ça ne la préoccupait plus une fois qu'elle du subir les accusations de celui-ci. «Et dire que je voulais être gentille pour une fois, se dit-elle.» Ne lui avait-elle pas dit qu'elle n'y était pour rien? S'il y avait bien quelque chose qu'elle détestait plus que les insultes, c'était bien qu'on la prenne pour une jeune femme fragile et sans défence. Son sang bouilla de rage lorsqu'elle serra le poings jusqu'à s'infliger une marque dans le creux de sa main. Sa colère était tel que la douleur était insignifiante.

Cette scène lui rappellait trop sa vie passé dans son encien cartier. Pour survivre dans ce genre d'endroit, il fallait devenir plus fort pour ne pas être marché dessus. Elle plongea son regard dans celui de son agresseur, montrant ainsi qu'elle aussi pouvait devenir une bête sauvage dans certains moments. Fortifiant sa main droite, elle frappa l'air de son point qui vint percuter le côté gauche de la mâchoire de son opposant qui s'écroula au sol sous l'impacte. Elle lui dit ensuite, d'une voit qui semblait gronder...

- Je t'ai déjà dis que je n'y étais pour rien! T'es sourd ou juste débile!? C'est l'homme en blanc qui t'as fait ça! Et ne t'avise plus à me prendre comme tu l'as fais!

Elle prit une grande respiration comme pour reprendre son calme puis reprit son air d'avant.

- Et habille toi nom de Dieu! Repris t-elle. T'as aucune pudeur ou quoi!?

Au regard qu'il lui avait jetté, elle devina que sa propre mort le renderait que plus heureux. Elle s'attendait à une riposte de sa part, c'est ce qu'elle aurait fait si on l'avait frappé, mais rien. Il ne dit rien non plus. Elle fut étonné, après un moment, qu'il s'était habillé sans problème. Elle se dit qu'il était intelligent pour un puma colérique. Une fois assit sur le lit, il lui relançait une fois de plus sont regard de glace. «J'ai comme l'impression que l'année va être encore plus longue. songea la jeune femme. Si on doit se supproter, mieu vaut être en bon terme.» Elle expira longuement avant de croiser les bras et supporter son regard.

- On est parti du pied gauche on dirait. Lui dit-elle d'une voix calme, mais irité. Je vois bien que tu ne m'aimes pas, mais il va falloir qu'on se supporte, pas le choix. Tu t'appelles comment? Moi c'est Migumi.

Migumi ressentait l'envie de tuer qu'il avait en lui. Cette menace lui était destiné et elle le savait. Peut importe le regard vengeur qu'il pouvait avoir, elle n'était guère intimidé par celui-ci. Sans ses griffes et ses crocs, l'encien puma ne lui fesait plus aussi peur. Après tout, elle était armé et prête à se bâttre à tout moment. Elle resta tout de même sur ses gardes par précaution, mais ne laissa rien paraître.

- Je comprends. Lui dit-elle aussitôt qu'il eu fini. Personne ne souhaite être enfermé, c'est compréhensible. Mais tu peux pas t'enfuir. Il n'y a qu'une seule sortie et elle est bien gardé.

Elle avait beau dire ça, elle n'avait pas l'intention de l'aider à s'enfuir. Elle voyait toujours en lui le puma sauvage qu'elle avait vu dans la cage. Elle ne pouvait pas laisser un fauve à forme humaine se promener aux côté d'humains qui pourraient être sa cible.

- En plus tu es humain maintenant, continua t-elle en soutenant son regard. Tu as oublié? Il va bien falloir être en bon terme avec les autres humains ou tu risquerais d'avoir des ennuis.

Elle était sur le point de lui dire qu'elle l'aiderait, alors qu'elle même ne sait pas être en bon terme avec les gens de l'établissement. Était-ce vraiment une bonne idée de lui confier l'encien puma? L'heure de se remplir le ventre allait bientôt arrivé et Migumi ressentait déjà la faim. Continuer cette discution interminable avec lui ne l'enchantait pas. Elle voulait déjà aller manger, mais ne pouvait certainement pas le laisser là.

- Tu as faim? Lui demanda t-elle.

Migumi recommençait à perdre patience avec lui. Elle avait envis de l'agriper par le chandail et l'enmener de force à la cantine. De plus, elle devenait plus érritable lorsqu'elle avait faim. Jusqu'à maintenant, toute ces tentatives pour faire baisser la tention avait échoué. Elle décida de s'y prendre autrement avec lui. Elle prit l'air qu'elle avait l'habitude de prendre pour amadoué ses professeurs à son arrivé dans l'école. Elle lui offrit un sourire attentioné et un regard plein de gentilesse.

- Tu n'as pas envis de sortir d'ici? Lui dit-elle d'une voix douce. Il y a une forêt dans l'enceinte du bâtiment. Après avoir été chercher quelque chose à manger, on pourrait y aller. Ça te dirait de prendre un peu de soleil?

La jeune femme avait perdu ses trois frère ainsi que son père dans une fusiade. Tous ce qui lui restait était le plus jeune de ses grands frères qui se trouvait dans une école pour handicapé à des millier de kilomètres d'elle. Elle connait la valeur d'une vie. D'entendre quelqu'un dire qu'il préférerait la mort plutôt que la vie, alors que les membres de sa famille n'avaient pas eu cette chance, la mettait hors d'elle. Avec l'impulsion qu'elle faisait généralement preuve lors de situation comme celle-ci, elle saisit le couteau qu'elle tenait dans sa botte, agripa le colet de son interlocuteur qu'elle vint plaquer contre le mur puis plaça la lame de son couteau sous la gorge de celui-ci.

- Mourir? Prononça t-elle entre les dents les yeux chargé de fureur. Sais-tu seulement ce que ça signifie?

Elle bougea la lame qui n'avait pas eu loccasion de venger les membres de sa famille, de manière à ressentir son métal froide, mais sans pour autant le couper avant de continuer.

- Ne parle pas de mourir si facilement! Tu veux t'échaper, bien! Mais ne compte pas sur moi pour laisser un animal sauvage en liberté. Et si tu me parles encore de vouloir préférer la mort à la vie, je m'arrengerai pour que tu n'ais plus jamais à te le demander. Tu comprends?

Sur ses derniers mots, elle avait reserré son étreinte, puis le relâcha. Elle prit ensuite une longue respiration pour ensuite lui dire de la même voix douce;

- Tu n'as vraiment pas envis de voir la lumière du jour? Tu peux me croire quand je dis qu'il y a une forêt dans l'enceinte de l'école. Après avoir été chercher quelque chose à manger, je t'y enmènerais, c'est promis. Et si je ne le fais pas, je te laisserais me tuer puisque tu as tellement l'air de le vouloir. Je te donnerai même mon couteau si tu veux, disait-elle avec son plus beau sourire. Tu vas pas me faire croire que l'envis ne t'étais pas venu à l'esprit.

Elle rengea ensuite son couteau et le regarda à nouveau, toujours avec le même sourire, comme attandant une réponse de sa victime.

Lorsqu'elle l'entendit grogner, elle eu un soupir de découragement. Elle était quelque peu déçut de ne pas le voir réagir. Elle qui s'attendait à une riposte de sa par. Elle l'aurait fait si elle avait été à sa place et elle aurait très bien compris ce geste, mais rien. C'était à se demander qui était le plus dangereux pour vivre aux côtés d'être humains. Elle attendit qu'il dise quelque chose après son grognement, mais aucun son ne sorti de sa bouche. Avait-il décidé de jouer les muets? L'attente qui ne dura surement pas longtemps, suffit à achever sa patience.

- Tu veux passer le reste de ta vie ici ou quoi!? Lui dit-elle d'un ton pressant. Suis moi.

Elle venait d'ouvrir la porte et attendit un geste ou un mot de sa par.

Elle fut surprise de voir un sourire s'afficher sur le visage de son protégé. Était-il en train d'essayer de l'amadouer pour lui faire baisser sa garde et s'enfuir? Peut importe. Migumi ne pensait qu'à atteindre la cantine pour se goinfrer à en avoir mal au ventre. Elle laissa passer l'encien puma devant elle, satisfaite de pouvoir enfin sortir de cette sale ennuyeuse.

En longeant le couloir, elle remarqua le malaise qu'avait le nouvel humain. Quand elle le vit s'écrouler, elle fut prit d'inquiétude et se dirrigea vers lui rapidement pour le protéger de l'impact au sol. Elle eu juste le temps de l'empêcher de se cogner la tête. Elle appela ensuite à l'aide d'une voix forte. Le scientifique qui s'était occupé de leurs rencontre arriva sur les lieux.

- Qu'est-ce qu'il a! Lui demanda t-elle les yeux chargé de colère comme pour cacher son inquiétude.